Même si il revêt une dimension microcosmique, le travail d’Inès Lavialle a ce petit quelque chose de démesuré. Chasseuse de classifications, trieuse compulsive, inépuisable chercheuse de systématiques, ses installations mettent en lumière son goût pour les cabinets de curiosités.

 

Cette approche pseudo-scientifique n’exclut cependant pas une certaine forme poétique : porcelaines, verres soufflés, dessins, ses recherches formelles s’incarnent dans la fragilité.

 

La matière fuse et s’extrude pour former un monde nouveau qu’il reste à explorer.  

Cependant, ici, on touche avec les yeux !

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