Haïku sur la cristallisation et l’érosion, la fragilité et la brutalité, la construction et la destruction, l’oeuvre de Béatrice Darmagnac joue avec la matérialité et sa temporalité.

 

Inspirés par la culture zen mais aussi les ouvrages de science-fiction de Philip K. Dick, ses sculptures sont un véritable observatoire de l’hybridation des réalités du monde naturel et artificiel.

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Au delà de l’aspect environnemental et écologique, c’est surement notre propre résilience, notre capacité à affronter la destruction qu’elle interroge. Les transformations qui s’opèrent après l’absence, après la disparition : comme le résume si bien le titre d’une de ses pièces “ ce qui reste parle du départ ”.

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